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| Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles | |
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Leroy Inner • Elève de 3ème Année [P]
Nombre de messages : 113 Surnom : Van Knochen Humeur : Happy Musique : Noir Désir : A l'Envers, A l'Endroit Orientation : Homosexuel Jeux +16 : Oui Date d'inscription : 07/09/2008
Dossier ° Scolaire Pseudonyme: Van Knochen Evolution Point: (485/500) Dons & Capacités:
| Sujet: Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles Dim 7 Sep - 19:48 | |
| |[ Carte d'Identité ]| • Nom et Prénom : INNER Leroy • Pseudonyme : Van Knochen • Age : 17 ans • Né à : Mallaig • Le : 09/11/1991 • A vécut à : Mallaig, Ecosse • A rejoint l'école à : 16 ans • Année: 3ème Année • Section : Physique • Rang Particuliers : Aucun |[Caractère]| • Présentation : Un garçon fort étrange, ma foi. C’est ce que je me suis dit la première fois que j’ai rencontré Leroy. Il y avait en lui tellement de noirceur que j’ai eu l’impression étrange, oppressante de sombrer dans les limbes mêmes. J’avais pourtant connu énormément d’adolescent qui se sentaient mal dans leur peau, dont les idées noires assaillaient sans cesses leur esprit. Chez Leroy, tout était différent. Il n’y avait chez lui, aucun doute. Il ne se remettait jamais en cause. Dans sa tête, je n’ai pas trouvé les compartiments à moitié ouverts, où les émotions étaient rangées en fouillis. Non, pas de ça chez lui. Sa maniaquerie s’étendait jusqu’à son esprit. Quand je lisais en lui, j’avais l’impression de me retrouver dans une pièce blanche, éclatante de froideur, où la moindre trace indélicate aurait juré comme un nez sur le visage d’un poisson. Les premiers instants je me sentais terriblement mal à l’aise. Je n’avais rien à faire ici. Je jurais avec ce décors si… effrayant. J’avais peur. Moi qui avais affronté des mutants dont les ambitions n’avaient rien de correct, j’étais dans la tête d’un adolescent de quinze ans, qui développait à peine ses pouvoirs, et déjà, j’avais l’impression que sa simple volonté aurait suffit à me tuer. Comment justifier une noirceur d’âme dans une blancheur d’esprit ? Ceci me paraissait inconcevable. Pourtant, je peux vous jurer que ce blanc là n’avait rien de bon. Il était pourrit à la racine. Les émotions qui émanaient de ce gamin me troublaient. Il avait l’envie étrange de me garder prisonnier dans sa tête, à jamais, et celle de me tuer sur place. Il savait que j’étais en lui, et ça ne lui plaisait pas. Quand je suis sortit, à ma plus grande surprise, il y avait un sourire sur son visage. Comme s’il savait que je n’avais rien trouvé d’important, et comme s’il faisait semblant de ne pas savoir. Un comportement si adulte à un âge aussi jeune. J’étais surpris. Tout autant de cette maturité que de savoir que mon vieil ami ne l’avait pas déjà prit avec lui dans l’école. Tout ça me paraissant étrange. Quelqu’un tentait-il de cacher ses pouvoirs ? Il est vrai qu’en rentrait dans le port de Mallaig, je n’avais pas détecté sa présence. Comme si quelqu’un avait voulu le protéger des autres mutants. Je suis resté à discuter avec lui, longtemps. Sa voix était tellement sûre, elle m’irritait. Un orgueil étrange lui collait à la peau. Il se sentait tellement supérieur aux autres que sa suffisance me faisait douter de ma propre culture. Quand je lui ai parlé de l’Ecole, il m’a dit que ça ne l’intéressait pas. Il n’avait rien à apprendre d’autres mutants, disait-il. Il était mauvais, et je me demandais s’il ne valait pas mieux l’arrêter tout de suite, ou du moins, le tenir loin des autres, plus innocents. Certes, il n’était pas encore une grande menace, mais il était loin d’un être inoffensif. Je n’aimais pas l’être qu’il représentait. J’en ai parlé à mon ami. Il a essayé de trouver un mutant à Mallaig, juste par la pensée. Il n’y arrivait pas. Même moi, j’avais du mal à le ressentir. Je savais que seul le fait de l’avoir rencontré, d’avoir touché à son essence magique, me permettait de sentir son fil de vie. Nous avons longuement discuté de ce qu’il fallait faire. Ni lui, ni moi, ne voulions mettre les autres en danger. Mais nous ne pouvions pas le laisser en liberté. Nous décidâmes donc de lui laisser un an de plus. Un an pour se découvrir, un an pour être sûr. En juin, ce fût la première rencontrer que je fis. Il avait étrangement changé. Son corps n’avait jamais parût aussi beau. Je fut troublé par son regard si pénétrant. Il n’y avait plus rien de semblable en lui. Il cachait mieux ses ambitions, ses émotions. J’ai eu énormément de mal à rentrer en lui, et ce que j’ai pu lire là-bas, j’ai du mal à m’en souvenir. Il était d’une froideur intérieur qui me fait mal aux os. Il n’avait aucunement l’intention de me laisser farfouiller de mon plein gré. Je voyais cette pièce blanche immaculée, mais les casiers de sa vie, de ses émotions ne cessaient de se déplacer à mon approche. J’ai dut mobiliser plus de force psychique qu’à l’accoutumée avec d’autres adolescents pour arriver à saisir des bribes de lui. Tout ce dont je suis certain, c’est qu’il reste encore mauvais, et je doute que ça puisse changer. On dirait qu’il en veut à énormément de personnes. Il en veut même à ses pouvoirs. Il n’a aucune peur. Mais souffrir ne semble pas l’effrayer. Quand j’ai réussis à comprendre pourquoi, j’ai crut mourir. C’était la première fois que je pouvais me mettre dans la tête d’un extracteur d’os. Ils se sont fait rare et discrets avec le temps. Mais la douleur qu’il éprouvait, tant physique que mentale, m’a effrayé. C’était différent de ceux qui maîtrisent le feu, car avec l’expérience, on ne se brûle plus. Mais quand un os transperce la peau, même l’habitude ne change pas la douleur. C’est toujours une douleur atroce. Cette douleur, elle est en lui, et c’est probablement elle qui l’a rendu si mauvais. Je ne peux pas donner beaucoup plus d’indication sur son mental, seulement, il joue tellement bien la comédie, que si on n’arrive pas à saisir son intérieur, il est facile de se faire abuser. J’ai parfois douté de ce que j’avais lu tant il paraissait élégant et gentil. Méfiez-vous des apparences. • Goûts et Addictions : Il semblerait que Leroy se soit tellement accommodé de cette douleur physique, qu’il ne peut plus vraiment s’en passer. Il aime énormément souffrir physiquement. C’est ambigu, puisqu’il le déteste aussi. Mais il lui arrive de jouer avec son pouvoir, comme s’il en avait réellement besoin. Il lui arrive aussi de fumer. C’est quelque chose qui le rend plus calme, plus mystérieux, bien qu’il n’en ai pas réellement besoin. Disons que le voir fumer provoque cher le spectateur un respect naturel. Il n’est pas d’une grande sociabilité intérieure, il n’aime pas réellement les gens, par contre, il déteste tellement la solitude, qu’il arrive facilement à se faire des amis. Il est bon de savoir qu’il aime surtout manipuler les autres. Mise à part ça, j’ai pu remarquer qu’il jouait avec tout ce qu’il lui tombait sous les doigts, un peu comme s’il était une sorte de… mafieux. Il paraît tellement… adulte. |[Physique]| [J’espère que ça ne dérangera pas, je me suis permit de faire comme à mon habitude, si ça pose problème, je referais.] • Description : Un physique inoubliable. C’est ce dont je me souviens le mieux, et le moins à la fois. Si je puis décrire les traits de son visage avec certitude, je suis dans l’incapacité de me souvenir de sa taille, de son poids… Il est certain qu’il ne dépassait pas le mètre soixante-quinze, et qu’il n’atteignait pas les soixante-dix kilos, mais je ne peux rien affirmer de plus. Mais tout en lui était si captivant, si… gracieux. Il paraissait à la fois adulte et puissant. Quoi de plus captivant ? Une grâce dans un si jeune corps. Je n’arriverais jamais à réellement croire ce que j’ai vu. Un gamin de seize ans qui portait des mocassins noirs, de luxe. Mais détrompez-vous, ça ne le ridiculisait pas, au contraire, ça le rendait encore plus… homme. Je me souviens l’avoir regarder de haut en bas, alors qu’il m’ouvrait la porte de chez lui. J’étais tellement subjugué par une si jeune classe. Si je m’étais attendu à trouver un gamin qui aurait rendu le costard cravate seyant dans une ville portuaire ! Sincèrement, le costume lui allait à ravir. Le tissu léger du pantalon noir laissant parfois deviner la réelle épaisseur de ses cuisses, de chacun de ses muscles en fait, je me sentais mal à l’aise en partie à cause de ça. Les chemises blanches, serrées par une cravate noire ne m’avaient jamais fait cet effet. J’avais trente-deux ans et lui quinze, mais si je m’étais écouté, à ma courte honte, j’aurais été prêt à me damner pour cet enfant. Alors qu’il m’accompagnait dans le salon, j’avais libre cours pour le regarde de dos. Son pantalon au niveau des chevilles, des fesses, sa veste qui le rendait si gracieux, et ses cheveux aussi noirs que sa cravate. Ni trop longs, ni trop courts, une sorte de perfections dans un monde trop droit. Tout en lui n’était que perfection, voilà l’impression qu’il me laissait. Pourtant, je savais que c’était faux. Je connaissais tout de son intérieur, mais comment s’en convaincre réellement ? Quand il me fit m’asseoir, qu’il fit de même, juste en face de moi, mon cœur battit plus vite. Il possédait des yeux envoûtant. Une pure perfection, une pure beauté. Ils n’étaient et ne sont toujours pas descriptible. Le marron n’avait jamais osé une teinte si claire sur quelqu’un. Là, il l’avait fait. Il passait presque inaperçu, car les yeux étaient tout simplement cerclés de noir. Le même noir que celui des cheveux, des sourcils, un noir parfait. Mais il me fut impossible de déterminer si s’était du maquillage, ou quelque chose de naturel. Peut-être pour le mythe, je crois bien que ce n’était pas fictif. Mais sous ce regard, j’avais l’impression d’être tout et rien à la fois, comme s’il arrivait à lire en moi, sans le pouvoir. Et je me demande si ce n’était pas le cas. J’en arrivais presque à ignoré ce nez presque trop pointu, qui ne lui allait que trop bien. Quant à ses lèvres… Je ne sais qu’en dire. Elles étaient fines, et discrètes. Quand elles prenaient la pose d’un sourire, mon cœur accélérait, quand elles ne faisaient rien, elles étaient aussi parfaites que celle de la plus belle des statues. Je ne me souviens pas avoir trouvé quelque chose à redire sur son attitude extérieure, et encore moins sur son physique. Peut-être existe t’il quelqu’un qui puisse y rtouver un défaut, quelqu’un qui ne puisse pas éprouver d’attirance pour lui, en ce cas, j’espère qu’il arrivera à le voir comme ce qu’il est vraiment… | |
| | | Leroy Inner • Elève de 3ème Année [P]
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| Sujet: Re: Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles Dim 7 Sep - 19:49 | |
| |[ Pouvoirs]| • Don : Os extractibles : Il faut croire que c’est à la fois un don puissant, et dangereux. Les extracteurs d’os ont la capacité de « commander » à leurs os. Ils peuvent pas conséquent créer de nouveaux os en leur donnant la forme qu’ils souhaitent, puis les extraire de leur corps. Si c’est un pouvoir pratique et puissant, c’est aussi un pouvoir dangereux et douloureux, si un os touchait un organe, qui sait ce qui pourrait s’en suivre ? Et quoi de plus douloureux qu’un os qui transperce la peau ? Allez savoir… • Capacité : J’ignore beaucoup des extracteurs d’os. Mais après avoir longuement discuté avec Leroy, j’ai à peu près cerné sa capacité actuelle, sa « limite ». A mes yeux, ce doit être aussi douloureux et dangereux que ça me parait effrayant. Leroy peut produire autant d’os qu’il le désire. Il peut les faire sortir de sa peau. En quelque sorte, il n’a aucune limite de production, et il peut agrandir son squelette à l’infini. Du moins, tant qu’il possède suffisamment de calcium, heureusement, ceci est une limite sûre. Par contre, il n’a pas la possibilité d’extraire totalement ses os. C'est-à-dire qu’il ne peut pas les arracher à son squelette. Il peut rajouter une clef à son doigt, mais pas l’enlever pour la donner à quelqu’un. Il peut faire de son bras une lame puissante, mais pas une épée qu’il tiendrait dans la main, ou des flèches en os. Il se contente d’agrandir son squelette, de quelque manière qu’il le souhaite. C’est une capacité réellement dangereuse. Fort heureusement, il ne sait pas encore comment créer des os sans calciums, s’il le découvrait, il pourrait devenir un véritable monstre. Quant à découvrir comment arracher ses os de son squelette, je ne doute pas que les professeurs auront vite faire de le lui inculquer. J’ignore beaucoup trop des capacités des extracteurs pour en parler avec assurance. |[Histoire]| Comment réussir à comprendre cet enfant ? J’avoue que j’ai mit énormément de temps avant de tout rassembler. J’ai réussis à trouver quelques informations dans son esprit, mais très peu. J’ai du faire à partir de ça. J’ai cherché des professeurs, des amis, de la famille, des gens sans pouvoirs dans lesquels je pouvais me balader sans problème sans limite. Je n’ai pas tout reconstitué, mais j’ai beaucoup appris sur lui… Il est né dans ce petit village écossais qu’est Mallaig. En réalité, c’est un port de mer du district de Lochaber. Il a donc grandit près de la mer. Je l’ai longtemps imaginé comme un gamin jouant avec ses amis dans l’eau. Malheureusement, j’ai rapidement du me défaire de cette image. On m’a appris beaucoup sur son enfance, plus que sur sa vie actuelle. Ses parents étaient deux personnes respectées dans le village. On n’a jamais vraiment comprit ce qu’ils faisaient dans une ville d’à peine huit cent habitants. Ils avaient certes une immense maison aux murs étrangement blancs, et une vie paisible, mais comment concevoir qu’on puisse vivre aussi isoler quand on avait l’argent pour vivre parmi les plus grands, dans de grandes écoles pour leur enfant ? Personne ne m’a jamais répondu là-dessus, mais j’ai ma petite idée. Bref, tout ça pour dire qu’on voyait rarement son père, et très souvent sa mère. Inlassablement, elle venait le chercher à l’école alors que son mari restait à la maison. Elle paraissait souvent effacée, calme et douce. Un jour, on l’a vu venir chercher son enfant avec un œil au bord noir. Le village à piailler, on s’est demandé si Monsieur Inner n’était pas violent. Une idée qui peut paraître farfelue quand on connaît la vérité sur lui, mais l’excuse d’une boite de conserve qui est tombée de l’étagère avait semblé tellement… peu crédible. Alors des psychologues ont commencés à parler avec elle à la sortie de l’école. C’est lorsqu’ils insistèrent qu’on se fit une autre image sur Hélèna Inner. La gentille petite mère de famille prit soudain la place d’une femme sévère et froide. Elle déclara que le prochain qui oserais penser que son mari était un homme violent aurait à faire à sa haine la plus profonde, et que jamais plus il ne dormirait en ayant la certitude de se réveiller le lendemain matin. Après ce coup d’éclat, la théorie de la boîte de conserve parût beaucoup plus… possible. Une chose est sûre, c’est qu’elle adorait son fils, et qu’elle ne cessait de le chouchouter. Elle n’avait que des regards d’amour pour lui. Rien d’autre. Elle n’était rien de moins qu’une mère aimante, et prête à tout. Pour ce qui est de Leroy, s’était déjà un enfant différent. Il n’était pas particulièrement collaboratif. Il refusait de jouer avec les autres, et répondait à toutes les questions des professeurs avant même que ceux-ci aient décidé qui ils allaient interroger. Bien sûr, en primaire, ça paraissait être simplement un enfant surdoué, et on lui pardonnait facilement d’être « impatient » de répondre. Lorsqu’on parla à sa mère de son niveau, contrairement à toute attente, elle devint blanche et refusa qu’on l’inscrive dans une école pour les enfants avancés. Elle avait apparemment comprit que son fils serait différent, et elle ne tenait pas à ce que ça se sache. Leroy n’allait donc pas à la mer pour jouer avec les autres, par contre, ont m’apprit qu’une habitude était apparue lors de son passage en deuxième année de collège. Il restait des heures à contempler la mer. Je mis un certain temps avant de comprendre pourquoi… Il s’est avéré que son père était loin d’être un homme violent. En réalité, s’était un homme malade. Une forme dérivée de la tuberculose. Autant dire qu’il a craché du sang jusqu’à vomir ses tripes. Il en est mort. L’information a fait le tour du village. On était tous désolé, mais personne n’a fait vraiment attention à ce petit gamin qui avait mal, du haut de ses onze ans. On a surtout parlé avec la mère. Et elle, elle n’a pas vraiment réussit à tenir bon… Si j’ai tout saisit, c’est le trente-et-unième jour de sa classe de deuxième année qu’il y a eu un incident. Personne n’a vraiment un souvenir précis de ce moment là. Mais j’ai pu rassembler les morceaux. Ils étaient en cours, lorsque le gamin s’est mit à hurler de douleur. C’est souvent lors d’un grand choc moral que les pouvoirs se déclarent. Quoi de pire que la perte d’un parent aimant ? Ce cri était assez effroyable. J’ai capté la présence du sang dans les souvenirs de beaucoup d’élèves. Il est possible donc que lors des manifestations, ou tout du moins de la première, que le sang vient avec les os. C’était dans le dos que la proéminence osseuse avait fait son apparition. Elle avait transpercé les vêtements et semé un vent de stupeur plus que de panique. Leroy était à genoux, la tête entre les mains, prisonniers de ses hurlements. Lorsque quelqu’un comprit enfin qu’il était temps d’agir, tout se passa beaucoup plus rapidement. Certains sortirent de la classe en larmes, d’autres hurlèrent en les suivants. Leroy sanglotait. Le professeur appela les pompiers. Avant de partir chercher d’autres collègues. Leroy, seul dans la classe, sentit l’os se rétracter, et la douleur le tétanisant, il sombra dans un coma. Les infirmières que j’ai rencontrées furent très partagées. Les unes me dirent qu’elles étaient sûres qu’il ne se réveillerait jamais, les autres me dirent qu’il n’y avait aucun doute sur les séquelles qu’il aurait au réveil. En tous les cas, toutes étaient ravies d’avoir eu tort. Lorsqu’il se réveilla trois jours plus tard, le jeune Leroy Inner n’avait rien de changer, si ce n’est la peur de se transformer à nouveau. Une peur qu’il ne vécut plus avant longtemps… Il pu terminer sa seconde année d’étude au collège de son village en toute sérénité, tout le monde semblait avoir oublié ce qui s’était récemment passé. De plus, rien n’avait changé quand on son aptitude à être très fort en cours. La troisième année le laissa en paix, jusqu’au dernier mois tout du moins. Ce jour là, il était chez lui, avec sa mère. Les voisins l’entendirent alors hurler. Puis ce fut sa mère qui hurla. Tout était flou dans leur esprit. J’ai sentit la présence de l’énergie mutante de quelqu’un. Une des personnes qui arrivent à masquer les souvenirs. Je pense sincèrement que c’est la mère du garçon qui a fait ça, et que si j’ai pu retrouver ces informations, c’est simplement parce qu’elle se trouve loin, à l’heure qu’il est. En tout cas, ce que je peux dire avec certitude, c’est que cette transformation là fut plus puissante que la première. Un voisin bien avisé, pensant qu’il avait été battu, a récupéré dans les poubelles des Inner, le vêtement du gamin. Il l’avait tellement bien conservé, que je revois la scène comme si j’y étais. Je pense qu’ils étaient en grande conversation, et que Leroy s’est sentit mal. Alors des os ont commencé à transpercer sa peau, il a hurlé. Sa mère s’est jointe à lui lorsqu’elle a vu les os. Après, elle a tout fait pour soigner son fils sans qu’on le sache. L’avantage des extracteurs d’os, c’est qu’ils ne gardent aucune cicatrice de leur pouvoir. Tant que c’est les os qui transpercent, c’est l’auto régénération, dès le moment où c’est autre chose, il peut y avoir cicatrice. Un pouvoir qui m’impressionne toujours autant ma foi. Elle a donc jeté simplement les vêtements, et soigné son fils. Ensuite, elle a disparue. Je présume qu’elle a tout expliqué à son enfant avant de partir, bien que j’ignore pourquoi elle ne l’a pas assisté. Ce serait logique si elle avait eu peur de lui. Mais vu que je pense qu’elle était elle-même mutante, ça m’étonnerait sérieusement. J’avoue, ce départ reste flou à mes yeux. Quoi qu’il en soit, la vie du gamin est très imprécise durant les années qu’il a passé sans sa mère. Je pense qu’il s’est entraîné avec son pouvoir, et qu’il a puisé sa puissance et son assurance dans son indépendance. Je me désole seulement de la solitude dans laquelle il a dû être enfermé. Personne n’osait aller le voir dans cette immense maison. Le ménagé était fait par lui-même, et je peux assurer que l’immense jardin n’avait pas une seule feuille sur l’herbe, et que l’immense demeure n’avait pas une seule tâche. Je me demande où il trouvait le temps d’étudier et de s’entraîner. Lorsque je suis allé le voir pour la première fois, il était encore assez faible et fragile. Mais il m’avait l’air déterminé. Lors de ma seconde visite, j’ai comprit qu’il était nécessaire qu’on l’intègre à l’école. Je ne savais pas ce qu’il était capable de devenir sans un enseignement plus concret, et plus encadré. J’espère simplement que nous arriverons à le faire être bon. J’ai énormément de doute. Il n’a émit aucun commentaire quand je lui ai dit de faire ses valises. Il a simplement souris, et acquiescer. Que va-‘il devenir ? Quelqu’un de bien grâce à nous, je l’espère sincèrement. Professeur Ulric ESTON |[Dossier Familial]| Parents : Mère vivante, introuvable. Père mort. Frères / Soeurs : Pas à la connaissance des services sociaux. Ont-ils connaissance de vos pouvoirs? : Probablement. Animal : Non. | |
| | | Isabelle Howard { Administratrice } • Elève de 4ème Année [E] {D} ♀
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Dossier ° Scolaire Pseudonyme: Izzie Evolution Point: (25/500) Dons & Capacités:
| Sujet: Re: Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles Dim 7 Sep - 22:15 | |
| C'est très bien, tout est parfait je te valide. Bienvenue donc à la Evolution High School. | |
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| Sujet: Re: Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles | |
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| | | | Leroy Inner [3eme] Physique | Os Extractibles | |
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